Fatigués, en souffrance et
frustrés : les animateurs, coordinateurs, directeurs de centre de loisirs ou
d’ALAE accusent le coup de la réforme. Ils dénoncent surtout le manque de place
fait à l’animation et à l’éducation populaire par les nouveaux rythmes. Voir la suite de l'article dans La Gazette des Communes.
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