
Le Tribunal Administratif a considéré que cette décision avait été prise au terme d'une procédure irrégulière et pour des motifs étrangers à l'intérêt du service. Suite à ce jugement en date du 3 décembre 2009, la Cour Administrative d'Appel de Nancy a conforté ce jugement et a estimé que ce non-renouvellement était constitutif d'une faute de nature à engager la responsabilité de la commune. Dans son arrêt du 4 août 2011, compte tenu du préjudice moral et des troubles de toute nature qu’avait subis cet agent, elle a condamné la commune à lui verser 7 200 euros.
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